Le consentement est-il toujours une base légale valable ? L’exemple de la biométrie
Le RGPD reconnaît le consentement comme l’une des six bases légales de traitement des données personnelles (art. 6).En théorie, il pourrait sembler suffisant : si une personne accepte qu’on utilise ses données biométriques (ex. empreinte digitale, reconnaissance faciale), pourquoi cela poserait-il problème ?